Pourquoi le salaire minimum va ruiner des milliards de personnes

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Il y a un problème énorme avec le salaire minimum. Il existe déjà, mais il va exploser avec l’arrivée des intelligences artificielles et de la robotisation. Et ce problème ne va pas juste toucher quelques travailleurs : il menace absolument tous ceux qui dépendent de près ou de loin d’un salaire.

On doit comprendre ce qui est en train de se passer pour pouvoir voter pour les bonnes politiques. Le souci, c’est qu’aujourd’hui… on en est encore très loin.

La cause du salaire minimum

Avant de parler du problème, il faut comprendre pourquoi ce système existe.

Le XXᵉ siècle, c’est le début de l’endettement massif des États, notamment pour financer les guerres. Le problème avec la dette, c’est simple : si demain l’économie est plus productive qu’hier, la monnaie achète plus de chose. En d’autres termes, elle prend de la valeur…

Le problème c’est que la dette aussi.

C’est pourquoi depuis le XXème siècle, les technologies se multiplient. Mais l’inflation neutralise l’entièreté de celle-ci pour garantir que l’argent de demain sera moins fort qu’hier. Cela, maintient les dettes à flot. C’est pourquoi on voit l’inflation s’envoler depuis le dernier siècle:

Et c’est là que le salaire minimum apparaît.

Si on regarde la fréquence d’apparition du terme salaire minimum dans les livres, on se rend compte que c’est un concept récent:

Avec l’inflation, les prix montent, et les travailleurs demandent logiquement plus d’argent pour vivre ou survivre.

Mais voilà : augmenter la masse monétaire (inflation) ne crée pas plus de ressources réelles.

Les entreprises ne peuvent pas toujours payer plus… et c’est là que les politiques flairent l’opportunité.

“Ce n’est pas votre faute, c’est celle des méchants patrons. Nous, on va les forcer à vous payer plus.” Un politique verra alors tout un tas de potentiel votes se présenter à lui.

Mais il n’expliquera jamais d’où viendra cet argent…

Voici la réalité.

Pourquoi le salaire minimum punit les plus fragiles

Aucune entreprise ne peut garder un employé qui coûte plus qu’il ne rapporte. Sinon, elle finit par le licencier… ou par fermer.

Le salaire minimum, c’est donc, en réalité, une interdiction d’embaucher toute personne qui ne produit pas au moins cette somme.

J’en ai fait l’expérience.

À 19 ans, je bossais au black sur un marché le week-end. Je gagnais moins de 10 € de l’heure, mais j’étais content : c’était un job à côté de mes études, pas facile à trouver. Je n’avais ni expérience, ni compétences particulières, ni disponibilité totale. La commerçante qui m’employait ne pouvait pas me payer plus. Si elle avait été obligée de me payer au salaire minimum et les charges patronales, elle ne m’aurait jamais embauché.

Et c’est ça le problème : on empêche d’entrer sur le marché du travail ceux qui en ont le plus besoin pour progresser, les jeunes, les personnes peu qualifiées, en situation de handicap, etc.

Sans premier emploi, pas de compétences à développer. Sans compétences, pas de salaire plus élevé plus tard.

Le chomage de masse

Ce qui est fou, c’est que le chômage… ça n’existait pas vraiment avant le XXᵉ siècle.

Dans un marché libre, si tu es prêt à travailler, tu trouves un job. Peut-être pas au salaire que tu voulais au départ, mais un job quand même.

Le chômage “involontaire”, ça n’avait pas de sens.

Ce n’est qu’avec l’inflation monétaire et le salaire minimum que le chômage durable est apparu.

L’exemple de la Suisse est très parlant car c’est le dernier pays à avoir quitter l’étalon-or. Elle a connu pendant des décennies un chômage proche de zéro, même quand le reste du monde traversait des crises. Mais dès qu’elle a abandonné l’or dans les années 1970, le chômage est arrivé… et a suivi la même trajectoire que les autres économies en monnaie papier inflationnistes:

Effets en chaîne

Quand une entreprise repose sur une main d’œuvre peu qualifié qu’elle doit payer plus cher, elle n’a pas trente-six options :

  • Elle augmente ses prix

  • Elle réduit ses effectifs

  • Elle n’embauche pas

  • Ou elle ferme

Dans tous les cas, ce sont les consommateurs qui paient : prix plus élevés, moins de choix, moins de concurrence. Toute hausse de revenu est annulée par la hausse du coût de la vie.

Un commerçant, s’il doit vendre à perte, ne vendra pas du tout. Ou il vendra plus cher. Et devine qui paie la différence.

La vérité d’un marché libre

Dans un marché libre avec une monnaie saine, l’épargne prend de la valeur avec le temps. Si ton argent vaut plus demain qu’aujourd’hui, tu peux choisir de travailler moins, ou pas du tout, et vivre sur ton épargne.

Chacun est libre : le travailleur demande le salaire qu’il veut, l’employeur paie ce qu’il peut. Point.

Le “chômage involontaire” ne peut exister que si une loi interdit de travailler à un salaire donné.

Dans un marché libre, si tu veux bosser, tu baisses tes prétentions ou tu montes en compétences, mais tu trouves. Le chômage de masse, c’est un produit 100% artificiel, créé par les règles qui verrouillent le marché.

L’arrivée des IAs et de la robotisation

Aujourd’hui, pour 20 $ par mois, tu as accès à un assistant qui a le niveau d’un docteur dans pratiquement tous les domaines. Et il ne dort jamais.

Ce n’est que le début : chaque semaine, ces IA deviennent plus rapides, plus précises, plus créatives. L’IA d’aujourd’hui est la pire que tu verras de ta vie.

J’ai la chance d’avoir déjà plusieurs années d’expérience derrière moi. Je sais encore faire certaines choses mieux qu’une IA. Mais un étudiant qui sort de l’école ? Dans 90% des cas, l’IA est déjà meilleure que lui.

Le salaire minimum devient alors une barrière insurmontable : il empêche ces jeunes de décrocher leur premier job, celui qui leur permettrait justement de monter en compétences.

Et ca va empirer.

L’état naturel du marché libre : la déflation

On a tellement grandi dans un monde gonflé à l’inflation qu’on a oublié la règle de base : dans un marché libre, les prix baissent. Toujours.

Si vous mesurés votre vie en Euros, alors depuis le Covid tout coute presque 40% plus cher. Car l’USD et l’EUR ont été émis d’autant depuis:

Si vous mesurés votre vie dans une monnaie qui ne peut-être émise sur demande comme l’or et le bitcoin, alors vous avez plus de pouvoir d’achat qu’avant COVID. Vous avez notamment bénéficié de l’augmentation de valeur des humaines.

Les prix tendent toujours à descendre vers le coût marginal de production. Comme l’a dit Jeff Bezos “Ta marge, c’est mon opportunité”.

  • Pour l’IA, ce coût marginal est proche de zéro. Par conséquent, le prix des produits ou services basés sur l’IA tendra vers zéro.

  • Pour la robotique, il existe encore un coût marginal de production physique à court terme, mais tôt ou tard, les robots fabriqueront eux-mêmes d’autres robots, combinés à l’IA, et les prix chuteront encore, jusqu’à se rapprocher de zéro.

  • Idem pour les matières premières et l’énergie.

Si vous n’utilisez pas l’IA, alors que vos concurrents le font.

Dans un monde sain, ton pouvoir d’achat augmente chaque année, juste en gardant ton argent. Mais dans notre système actuel, cette déflation naturelle est volontairement bloquée par l’impression monétaire et les règles qui maintiennent les prix artificiellement élevés.

Impact sur le travail humain au court terme

On est déjà dans un monde où les IA sont proche du niveau PHD dans absolument tous les domaines.

La plupart d’entre nous restent meilleurs que les IAs qu’en un ou deux domaines spécifiques.

Pour un jeune qui sort tout juste des études, c’est encore plus brutal : l’IA est déjà plus compétente que lui dans presque tout. Or, le salaire minimum rend impossible pour un employeur de lui offrir un premier job moins payé… même si ça lui permettrait de progresser.

C’est déjà une réalité et elle va s’accentuer.

Et bientôt ca ne concernera plus seulement les étudiants.

Impact à moyen et long terme

À ce rythme, c’est inévitable : une énorme partie du travail humain va disparaître. Pourquoi payer un employé 40h par semaine, avec congés et charges, quand on peut avoir la même valeur pour 20 $ par mois en illimité… et bientôt presque gratuitement ?

Le problème, c’est que plus la technologie progresse vite, plus le système monétaire actuel réagit en gonflant la masse monétaire pour maintenir les prix. Alors que dans un vrai marché libre, l’innovation ferait naturellement baisser le coût de la vie.

Mais là, on empêche ce processus… pour protéger un système qui ne tient plus que grâce à la dette et à l’impression monétaire.

L’IA, le contrôle et l’UBI

À mesure que les emplois disparaissent, la réaction sera prévisible. Les électeurs feront la même erreur qu’ils ont fait avec le salaire minimum.

Ils réclameront plus de protection, plus d’aides, plus d’argent “gratuit”.

Après le salaire minimum, viendra l’UBI, revenu universel.

Mais si le prix des IAs tend vers 0, alors d’où vient ce “revenu” ?

La réponse: l’UBI ne pourrait exister qu’en empêchant cette baisse naturelle des prix. Comment ? En imprimant toujours plus d’argent et en forcant des prix gonflés pour les emplois restants.

Cela accentuera encore la population et sa dépendance à l’État.

Résultat : moins de liberté, plus de contrôle, et une majorité qui finira par croire que cette dépendance est normale… ou pire, qu’elle est un progrès.

La solution

Dans un marché libre, avec une monnaie saine comme Bitcoin, ce serait inutile : les prix baisseraient chaque année, et ton pouvoir d’achat grimperait naturellement, même sans augmentation de salaire.

Ta liberté serait preservée et les entreprises seraient libres d’innovées pour le bien commun.

Et toi, feras-tu l’erreur de compter sur l’État ou prendras-tu ta liberté ?

Et toi, tu veux que ton salaire enrichisse ta famille plutôt que l’État et les banques ?

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Bon weekend,

— Axel

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