Personne ne voterait volontairement pour un système où les pauvres paient plus que les riches, non ? Et pourtant… c’est exactement ce qui se passe.

Derrière les grands discours sur la solidarité et l’égalité, le socialisme profite davantage aux riches qu’aux plus modestes. Et ce, pour 4 raisons fondamentales.

Les politiques socialistes sont payées par la dette et l’inflation

Dans une démocratie, les gens votent pour celui qui promet le plus de “repas gratuits”.

Mais en économie, il n’y a pas de repas gratuit : si tu ne paies pas, c’est quelqu’un d’autre qui paie pour toi.

Et demander aux autres de payer à ta place a une limite : c’est impopulaire.

Alors comment les politiciens s’assurent-ils une place au pouvoir tout en promettant des repas gratuits ?

Réponse : par la dette et l’inflation.

Depuis 1974, l’État dépense plus qu’il ne gagne chaque année. Et ça ne fait qu’empirer comme le montre le pourcentage de dépenses vs recettes d’état au fil des années:

Depuis que les États peuvent imprimer de la monnaie sans contrainte (merci 1971 et la fin de l’Étalon or), les promesses de “repas gratuits” sont devenues acceptables politiquement

Mais chaque euro de dette, c’est un euro d’impôt (plus les intérêts) à payer demain. Et chaque euro fraîchement imprimé dilue la valeur des euros existants.

Effectivement, imagine un stade de foot avec 1000 sièges pour 1000 tickets. Si soudainement tu imprimes 1000 tickets en plus, un siège coûtera soudainement 2 tickets. C’est pareil en économie.

Si l’argent pouvait simplement être imprimé, pourquoi y aurait il de la pauvreté dans le monde ?

Imprimer de l’argent ne crée pas de richesse.

C’est un vole exercé sur les épargnants.

L’inflation est une taxe sournoise.

De la même manière que durant le Covid, tout le monde a vu naitre de l’argent magique durant 1 an, depuis tous les prix ont flambés et les dettes contractées assurent que demain sera pire qu’aujourd’hui.

En conclusion:

• Les gens voteront toujours pour le politicien qui promet le plus de repas gratuits.

• La dette et l’impression monétaire crée l’illusion de ce repas gratuit… qui est ensuite ajouté à ta note via la dévaluation de ton épargne

• Comme les hausses d’impôts sont impopulaires, l’inflation est le moyen sournois de taxer tout le monde, sans jamais le dire.

Et comme nous allons le voir, l’inflation impact davantage les pauvres que les riches.

1- Les riches bénéficient de l’inflation

Voici un secret : l’inflation enrichit ceux qui possèdent des actifs. Et devine qui détient les actifs ? Les riches.

Durant le Covid, 50% de billets en plus furent imprimés.
—> 50% de billets en plus valorisant un même nombre de biens et services.

Résultat, les détenteurs de biens voient leur patrimoine suivre l’augmentation de l’inflation tandis que les épargnants en euros sont massacrés.

Pour l’illustrer, en Europe de 2015 à 2023, le prix de l’immobilier a augmenté de 48.1%:

Sur cette même période on compte 48.17% d’Euros en plus.

Même chose pour la bourse : Le S&P500 a explosé de +5600 % en 55 ans… mais la masse monétaire aussi. La "hausse" n’est souvent qu’un effet optique dû à l’impression monétaire.

Quand tu es riche, tu possèdes des actions, de l’immobilier, de l’art, des terres. Bref des actifs rares et désirables.

Les pauvres ? Surtout du cash.

• 80 % du patrimoine des 30 % les plus pauvres = dépôts bancaires.

• Moins de 10 % chez les 20 % les plus riches.

Donc à chaque injection de monnaie :

• 📈 Les actifs prennent de la valeur

• 📉 Le cash perd du pouvoir d’achat

• 🧨 Les pauvres s’appauvrissent, les riches s’enrichissent

Mais ce n’est pas tout !

Les états manipules les taux d’intérêts pour rester solvable dans leur propre dette.

Les taux sont gardés anormalement bas. En effet, qui prêterait à 2 ou 3% d’intéret lorsque l’inflation est de 6 à 7% par an ? C’est de la répression financière.

Or, les riches ont un accès au crédit facilité grâce à leurs possessions initiales d’argent et d’actifs.

Est-ce juste qu’un multimillionnaire puisse emprunter 1 million d’euros à 2 ou 3% d’intérêt contre un actif qui se valorisera au rythme de l’inflation de 6 à 7% ? Et qui en paye le prix ?

Pour résumer :

1. L’État finance ses promesses via la dette.

2. La dette entraîne l’inflation.

3. L’inflation vole les épargnes des pauvres.

4. Les actifs (possédés par les riches) prennent de la valeur.

5. Les riches empruntent à bas taux pour acheter ces actifs → effet de levier à leur avantage.

2- Plus d’inflation = plus d’impôts

Petit retour historique.

• USA: l’impôt sur le revenu naît en 1913. À cette époque, il fallait gagner plus de $3,000 par an, cela ne touchait que les 2 à 3 % les plus riches.

• France: l’impôt sur le revenu a débuté en 1916 pour financer la guerre. Il fallait gagner plus de 5000 francs / an. Moins de 5 % des Français y étaient soumis.

  (Comme toujours, l’état grandit lors de crises ou de guerre. C’est là qu’il s’octroie des pouvoirs et ensuite ne revient jamais en arriere.)

• Aujourd’hui ? La majorité des travailleurs de France et d’Amérique paient l’impôt sur le revenu.

Et ce n’est que le début.

En France, prenons l’ISF (devenu IFI) :

• En 1989, il fallait posséder 800 000 € pour y être assujetti.

• En 2018, le seuil est de… 1 300 000 €.

• Mais depuis 1989, la masse monétaire a augmenté de 571 %.

Ajusté à la masse monétaire, le seuil aurait dû être ajusté à 5,3 millions d’euros.

Donc les classes moyennes paient aujourd’hui un impôt créé pour taxer les riches.

Au fur et à mesure du temps, l’inflation garantit que de plus en plus de gens tombent dans les tranches d’imposition initialement prévues pour les riches.

3- Arbitrage pays

C’est la compétition qui force à la baisse des prix et la hausse de la qualité des services.

Aller dans une juridiction avantageuse est le seul moyen de forcer les états à s’améliorer.

Et les riches sont généralement davantage mobiles.

Malheureusement, les plus mal chaussés sont ceux qui ont le plus de difficultés à exercer la compétition entre les pays.

Lorsque de plus en plus de riches s’envolent, la classe moyenne est détruite car sur elle retombe les redistributions.

Les millionnaires s’envolent vers les régimes avec un meilleur rapport services publique par impôts payés:

4- Les riches évitent l’impôt

Le socialisme, prétendant, favoriser les minorités, augmente la complexité de l’imposition au fil du temps. En témoigne l’augmentation du nombre de mots du Code général des impôts :

Et devine qui a les moyens de payer des armées d’experts pour trouver ces failles ? Les riches.

Le système fiscal prétend taxer les riches… mais il est suffisamment complexe pour qu’eux seuls sachent en sortir légalement.

Bitcoin va changer cela

Comme le Knut Svanholm: “L’augmentation de la pauvreté est l’issue inévitable de la combinaison entre démocratie et banque centrale.”

C’est un système de pillage sophistiqué. Les gouvernements sont incités à utiliser la dette pour accéder au pouvoir. Ceci favorise l’inflation qui favorise les riches au détriments des pauvres pour les raisons évoquées.

Bitcoin va changer cela et enfin favoriser les plus démunis.

Mais Bitcoin rend le vol impossible. Personne ne peut imprimer. Personne ne peut tricher.

Quand plus personne ne peut intégrer le vol dans le système via l’imprimante à billets, les prix de tous les biens chutent jusqu’à leur coût marginal de production.

Et quand cela arrive, tout le monde en profite, car chacun obtient plus pour le même prix.

Comme l’a dit Jeff Bezos : « Ta marge, c’est mon opportunité. »

Avec Bitcoin:

• La monnaie redeviendra une épargne.

• Les riches ne pourront plus s’enrichir par simple fait d’avoir accès au crédit

• les prix chuteront pour toujours et pour tout le monde

Vous pouvez voter pour un parti politique qui promet de baisser un impôt.
Mais l’inflation garantit que l’impôt augmente toujours au final.
Ou tu peux opter pour Bitcoin.