La France devient une dictature sous nos yeux !

Comment agir maintenant.

En ce moment, un texte est débattu à l’Assemblée nationale visant à interdire l’outrage à la République et à ses symboles tels que la Démocratie.

Cette loi interdit l’outrage, ce qui est une première étape vers l’interdiction de la critique.

Cette loi menace directement notre liberté d’expression. Avant qu’il ne soit trop tard, posons-nous les questions fondamentales suivantes :

  • Vivons-nous encore dans une République démocratique ?

  • Ce système est-il vraiment louable ?

  • Comment nous rebeller pacifiquement avant qu’ils ne nous retirent nos dernières libertés et possessions ?

  • (Une surprise vous attend en fin d’article)

Comme l’a dit Jordan Peterson dans une fameuse réplique: “Pour pouvoir penser, il faut accepter de risquer d’offenser”. Je vais prendre le risque d’offenser certains.

Sommes-nous dans une République ?

Une République implique la séparation des pouvoirs. Mais cette séparation n’est pas seulement institutionnelle (exécutif, législatif, judiciaire) : elle repose aussi sur un contre-pouvoir fondamental, nous. Et notre contre pouvoir s’exprime par la liberté d’opinion, de réunion et d’expression.

En votant une telle loi, l’exécutif et le législatif vont à l’encontre de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen (articles 10 et 11) ainsi que la Convention européenne des droits de l’homme (article 10). Ceci démontrant l’absence de République. Dans l’absence de séparation des pouvoirs, la République n’est plus que l’ombre d’elle même.

Si une loi interdit toute contestation du régime, elle place ce dernier au-dessus du peuple. La justice, en appliquant la loi, ne protège plus la liberté d’expression, mais défend simplement le pouvoir en place.

Historiquement, tous les régimes qui ont interdit la critique d’eux-mêmes ont glissé vers l’autoritarisme.

Sommes nous dans une Démocratie ?

Il est estimé que 50 à 70 % des lois françaises sont issues des directives européennes, l’influence de Bruxelles affectant jusqu’à 80 % des domaines politiques.

Donc pendant que nous votons en France, la vérité est que jusqu’à 80 % des décisions nous concernant sont prises à Bruxelles par des bureaucrates non élus démocratiquement.

Et probablement la plus importante de toutes : la question monétaire. La Banque centrale européenne décide seule de la création monétaire.

Chaque fois que de l’argent est fraîchement imprimé, c’est un vol exercé sur les épargnes, les calculs économiques des entreprises et les plus productifs de la société.

Et ce pouvoir, ils l’utilisent. Constamment.

Plus de 60% des euros en circulation ont été imprimés durant les 20 dernières années.

Si tu pensais avoir voté pour ces gens-là, sache qu’en réalité, personne ne les a élus.

Et pendant ce temps, notre monnaie est diluée en moyenne de 6 % chaque année.

Ces bureaucrates non élues décident de notre présent et avenir.

Toute forme d’échange qui n’est pas volontaire est une forme d’esclavagisme.

D’ailleurs, comme nous l’avions évoqué dans une précédente vidéo, l’impression monétaire des gouvernements depuis leur prise de contrôle de celui-ci en 1971 est la forme d’esclavagisme la plus avancée de l’histoire humaine. En temps brut volé, l’esclavagisme menant à la construction des pyramides d’Egypte parait ridicule.

Interdire la critique est un jeu dangereux.

Les risques de ne pas critiquer

Sachant que le partie Nazi a été élu démocratiquement, rendre indiscutable la démocratie revient à considérer que les juifs d’allemagne se sont suicidés.

Pour citer Hans Hermann Hoppe dans Democracy the God that Failed:

“Si la démocratie est l’autogouvernement, et si le gouvernement, c’est ‘nous’, alors les Juifs se sont tués eux-mêmes dans l’Allemagne nazie.

En réalité, il est absurde de croire que les gouvernants et les gouvernés sont une seule et même personne.”

Comme le dit Jordan Pieterson dans ses Biblical Series XIII: Jacob’s Ladder : “La restriction de la liberté d’expression est le premier pas vers la tyrannie.”

Interdire la critique de la Démocracie aurait des conséquences évidentes. Surtout lorsque l’on connait la nature humaine:

Dans les années 60, Stanley Milgram a mené une expérience célèbre aux États-Unis.

Des participants étaient invités à administrer des chocs électriques à un inconnu (en réalité un acteur) chaque fois qu’il répondait mal à une question. Le superviseur – figure d’autorité, souvent un professeur ou directeur d’université – leur disait simplement : “Continuez, l’expérience l’exige.”

Résultat : 66% des participants sont allés jusqu’à envoyer une décharge potentiellement mortelle. Non pas parce qu’ils étaient cruels, mais parce qu’une autorité leur en avait donné l’ordre. Ils se déresponsabilisaient moralement au nom de l’ordre légal et scientifique.

Ce que cela révèle :

Les gens sont prêts à commettre des actes qu’ils savent immoraux dès lors qu’une autorité supérieure l’ordonne.

L’État démocratique n’échappe pas à cette dérive. Quand la loi devient morale par définition, alors tout acte ordonné par l’État est justifié, même l’injustifiable.

Cette expérience de Milgram a été reproduite à de nombreuses reprises à travers le monde et les années. Toujours avec un résultat similaire.

La France détient d’ailleurs un des pires résultats enregistrés à ce test d’obéissance à l’autorité avec 81% des participants allant jusqu’au niveau maximal de choc lors de l’expérience de Milgram produite dans le documentaire de 2010 Le Jeu de la Mort.

La démocratie est-elle louable ?

Les défenseurs des démocraties argumentent souvent que l’humain est mauvais donc il a besoin d’un maitre.

L’économiste Murray Rothbard répond à ceci:

“Si les Hommes sont mauvais alors l’état qui est composé d’Hommes est une menace aussi”

Soyons francs, quatre personnes qui prennent une décision à la majorité de quatre contre cinq pour voler la cinquième personne, ce n’est pas vraiment éthique.

À ce sujet il y a beaucoup de choses à dire.

La démocratie :

  • Légalise l’injustice si la majorité y consent (ex : persécution de minorités, expropriations).

  • Priorise le court terme sur le long terme

    • Les élus privilégient souvent des politiques aux bénéfices immédiats pour assurer leur (ré)élection, négligeant ainsi les besoins à long terme et la durabilité.

    • Le gouvernement dispose d’une période limitée pour extraire des ressources.

      Il favorisera donc des décisions à court terme plutôt qu’à long terme, sacrifiant ainsi le capital, qui est pourtant la mère de la prospérité.

    • Ils privilégient la dette, car cela leur permet de dépenser maintenant, pendant leur mandat, l’argent du futur. Et ils n’auront pas à en subir les conséquences.

Il y a tellement de choses à dire que Hans Hermann Hoppe en un fait un livre entier intitulé “Démocratie : le Dieu qui a Échoué”. J’y reviendrai dans un prochain article dédié.

Révolution pacifique

Quand certains pensent qu’une société sans état est utopique, Murray Rothbard répond : “La plus grande utopie est de croire qu’un gouvernement limité restera limité.”

Dans un contexte où la bureaucratie s'étend pour répondre aux besoins de la bureaucratie en expansion. Déjà proche de 70% de notre revenu est capturé par l’État. Les dépenses étatiques représentent plus de 60% du PIB. (C’est davantage que la Russie durant l’Union Soviétique)

Mais si tu n’as pas de problème avec cela, alors tu seras content de l’empirement de cette situation.

Effectivement, il est évident que les prochaines années seront nettement plus terribles au fil du piège de la dette et de la centralisation des pouvoirs.

Les économistes Saifedean Ammous ou encore Lyn Alden l’annoncent à tour de bras : les prochaines décennies seront des décennies d’inflation. Bien plus que les précédentes.

Autrement tu peux retirer des mains de l’État le contrôle de la monnaie en adoptant Bitcoin.

Bitcoin est la première révolution pacifique.

Bitcoin est né du constat qu’on ne peut faire confiance à aucun être humain.

Bitcoin est une monnaie où personne ne peut obtenir de pouvoir et changer les règles.

Dans ce contexte j’annonce la sortie prochaine de ma première formation Bitcoin.

Le dernier train pour bitcoin : de la servitude à la liberté, maintenant.

Si tu es intéressé, tu peux rentrer ton email ici. Je reprendrai contact très bientôt.


Bon weekend,

— Axel

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