L’Europe meurt, Bitcoin est inévitable

La population européenne s’effondre.
Tous les pays sont aujourd’hui sous le seuil de renouvellement démographique.

Les jeunes quittent le foyer familial autour de 30 ans, se marient en moyenne après 35 ans.

La situation est dramatique, et tu ne veux pas rester piégé dedans.

Voyons comment y échapper.

Le Problème

Les services publics augmentent en prix pour toujours

Plus le secteur public augmente, plus la croissance diminue.

Comme tu peux le voir sur ce graphique, plus la part de l’État dans le PIB augmente (courbe en bleu – échelle inversée), plus la croissance ralentit.

Et c’est logique.

L’État est en situation de monopole sur l’ensemble de ses services. Mais ce n’est pas un monopole ordinaire : c’est un monopole coercitif.

Lorsque tu fais appel à un prestataire privé, lui donnes-tu ta bénédiction pour :

  • Déterminer unilatéralement le prix

  • Sans ton consentement

  • Sans possibilité de sortie

  • Et de manière irrévocable ?

Non. Et pourtant, c’est ce que fait l’État.
Il impose ses services, ses prix, et si tu refuses, c’est la prison.

"Volontaire" ne veut pas dire "consenti".

Par exemple, une personne agressée peut volontairement céder sa Rolex pour sauver sa vie, sans pour autant consentir à l’agression.

C’est exactement pareil pour la majorité des contribuables :
les impôts sont payés « volontairement »… parce que ne pas les payer mène à la prison.
Mais cela ne signifie pas qu’il y ait eu consentement.

L’État a un monopole sur ses services et impose ses prix grâce à son monopole de la violence (Police, Justice, Prison etc.).

Knut Svanholm The Inverse of Clown World :

“Un gouvernement qui t’appelle « contribuable », c’est un peu comme un violeur qui appelle sa victime sa petite amie.”

L’augmentation des prix

Le secteur privé fait baisser les prix avec le temps.
Le secteur public les augmente.

Pourquoi ?

Parce que les incitations sont opposées :

  • Le privé risque la faillite → il doit s’optimiser en permanence

  • Il alloue le capital de manière efficiente

  • Il fait face à la concurrence → baisse des prix vers le coût marginal

  • Il cherche le profit → ce qui pousse à l’innovation, à la productivité

  • Il est responsable devant ses actionnaires

  • Il est souple et s’adapte rapidement aux changements

Le public, lui, n’a aucune de ces contraintes.

Il vit sur la spoliation. Et puisqu’il contrôle la violence, il peut extraire toujours plus de ressources.

Il impose ses dépenses à la population. Et lorsque l’impôt ne suffit plus, alors il impose ses dépenses par

  • la dette

  • l’impression monétaire

Quand on regarde l’augmentation des déficits en pourcentage du PIB, c’est déjà effrayant :

Mais en valeur réelle c’est pire, les déficits atteignent en moyenne 37,6 % par an sur les 10 dernières années :

Tout compris, la pression fiscale approche les 70 % pour les actifs.
Et malgré ça, l’État doit encore s’endetter à hauteur de 37 % supplémentaires chaque année.

Autrement dit : il vole le futur, ajoute des intérêts à rembourser, et dévalue la monnaie au présent.

Et plus le déficit augmente, plus l’État grossit.

Aujourd’hui, l’État représente plus de 60 % du PIB.
Il impose une pression fiscale massive pour une qualité de service en chute libre, bien inférieure à ce qu’un système en concurrence offrirait.

Pire encore : il n’honore ses promesses qu’en volant l’avenir.

De nos jours les jeunes sont sous l’eau et ne font plus d’enfants.

La fin de la croissance

Problème: La croissance serait l'unique solution pour rembourser les dettes.

Mais plus la bureaucratie grandit, plus la croissance dim.

L’imposition nécessaire pour financer les dettes et les services publics fait exploser les prix.

Résultat: Les entreprises deviennent non compétitives à l’international.

À l’image de l’énergie, en Europe, qui ne cesse d’augmenter, en raison des taxes qui s’y accumulent.

Plus de 60 % du prix de l’essence correspond à des taxes.

Voici l’évolution du prix de l’énergie en Europe comparé aux USA:

Les industries doivent se délocaliser pour survivre.

La croissance industrielle en Europe s’est effondrée après l’explosion de la bureaucratie européenne :

La stagflation cachée

Officiellement, le PIB monte.
Mais la réalité ? Nous sommes déjà en stagflation.

Stagflation = croissance nulle ou négative + inflation élevée

Le PIB ne veut plus rien dire :

Il mesure la « valeur des biens et services », mais ne soustrait pas les 6 % d’inflation annuelle dus à l’augmentation de la masse monétaire (liée aux dettes).

Et ce n’est qu’un parmi tant d’arguments contre le PIB.

Pour aller plus loin : Bitcoin is Venice démonte brillamment cette supercherie.

La vérité :

  • La France est en stagflation depuis des décennies

  • Les intérêts sur la dette dépassent la croissance

  • Les intérêts seront le premier budget de l’État

  • Et rien n’arrête ce train, comme le dit Lyn Alden

Seul rempart : Bitcoin

Plus les indicateurs économiques sont manipulés par les gouvernements, plus la réalité s’éloigne de la théorie.

Les jeunes n’ont plus accès à la propriété, à la parentalité, à l’indépendance.

Le World Economic Forum prépare les esprits :

“Vous ne posséderez rien, et vous serez heureux.”

Et quand l’État est en difficulté, il taxe, s’endette ou nationalise.

Même dans les démocraties :
Les États-Unis ont confisqué l’or de leur population par décret de 1936 à 1974.

Il est urgent que chacun tourne ses économies vers une forme de propriété que l’État ne peut ni confisquer, ni contrôler.

Cette propriété existe.

Elle a été créée précisément pour répondre à ce besoin : Bitcoin.

Les dettes d’État sont insolvables.
Mais la population peut encore se sauver.

En reprenant sa souveraineté.
Grâce à Bitcoin.

Bon weekend,

— Axel

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