Bitcoin est-il notre seul espoir ?

On nous a toujours appris que l’État était là pour nous protéger, garantir la paix, assurer notre sécurité. Mais quand on observe l’histoire, un constat dérangeant apparaît : les États ne cessent de s’agresser entre eux… et parfois même de se retourner contre leur propre population.

Aujourd’hui, avec la montée des technologies, IA, drones, armes nucléaires miniaturisées, imprimantes 3D etc. la capacité de destruction est plus accessible que jamais. Ce qui était autrefois réservé aux superpuissances est désormais à portée de petits groupes, voire d’individus isolés.

Résultat : puisque les États sont poussés structurellement à l’agression, ils deviennent peut-être la plus grande menace pour la survie de l’humanité.

  • Alors, que se passera-t-il quand les rébellions (appelées “terrorisme” par les États oppresseurs) disposeront elles aussi de cette puissance ?

  • Bitcoin pourrait-il sauver l’humanité ?

 

Les États comme prédateurs

Les États ne sont plus de simples garants de la sécurité collective. Comme le dit Murray Rothbard, la plus grande utopie est de croire qu’un État restera limité. Détenant le monopole de la violence, ils imposent et légalisent la spoliation de la propriété privée. Pour exister, ils doivent puiser leurs ressources ailleurs.

Cette prédation prend deux formes :

  • À l’intérieur, l’État vit de sa population.
    Il ne crée aucune richesse : il prélève par l’impôt, la dette ou l’inflation monétaire.

  • À l’extérieur, il entre en concurrence avec ses voisins.
    Historiquement, plus de territoires signifiait plus d’impôts, plus de soldats, plus de ressources naturelles — donc plus d’argent et de puissance.

👉 Prédater est son mode de survie.

Le monopole de la violence : spoliation fiscale

Un État ne vit pas de production volontaire mais de spoliation.

Les impôts ne sont pas négociés : ils sont prélevés par la contrainte.

Ce mécanisme permanent finance son existence… mais aussi ses guerres. L’argent arraché à la population sert à envoyer ses enfants et ses ressources dans les conflits.

Le contrôle de la monnaie : guerres invisibles

À la contrainte fiscale s’ajoute une arme plus insidieuse : la monnaie.
En contrôlant sa création, l’État finance ses guerres sans consulter sa population. Plutôt que de lever de nouveaux impôts, il imprime de la monnaie ou creuse la dette publique.

L’inflation qui en résulte est une spoliation diffuse : chaque billet perd de sa valeur, chaque épargne s’érode.
C’est ainsi que les guerres modernes sont devenues possibles. Sans ce pouvoir monétaire, aucun État n’aurait les moyens de s’engager dans des conflits à grande échelle.

Pourquoi la démocratie n’arrange rien (au contraire)

On pourrait croire que la démocratie limite ces dérives. Après tout, les dirigeants sont élus, responsables devant le peuple, donc moins enclins à l’agression. Mais en réalité, l’inverse se produit.

  • Rotation rapide du pouvoir : un roi ou un dictateur avait intérêt à préserver son royaume pour ses héritiers. Un élu n’a que quelques années devant lui : mieux vaut taxer, dépenser et exploiter tant qu’il est aux commandes. Même si celle-ci impact la création de capital future.

  • La redistribution comme arme politique : dans une démocratie moderne, le pouvoir se gagne en promettant des avantages financés par… l’argent des autres. C’est la légalisation de la spoliation. Les électeurs deviennent complices involontaires d’un système qui oppose les groupes entre eux.
    En réalité, la redistribution n’aide pas les pauvres. Elle engraisse surtout les bureaucrates.

Résultat : la démocratie, loin d’être un rempart, intensifie les comportements prédateurs. Elle permet à l’État de ponctionner et d’agresser tout en maintenant l’illusion que “nous l’avons choisi”.

C’est cette contradiction qui la rend encore plus mortifère : un pouvoir central qui exploite au nom du peuple, avec de la légitimité.

Les conséquences présentes

L’impérialisme économique : le FMI et la Banque mondiale

Depuis la Seconde Guerre mondiale, les grandes institutions financières internationales ont été créées sous couvert de “développement” et d’“aide aux pays pauvres”. En réalité, elles fonctionnent comme des instruments de domination :

  • Les prêts sont accordés en dollars, avec des taux insoutenables et bien souvent à des dictateurs.

  • Les États endettés sont forcés de réorienter leur économie vers l’exportation au service des pays riches, au lieu de répondre aux besoins locaux.

Résultat

  • Entre 1960 et 2017, un total de 62 000 milliards $ a été drainé du monde en développement, soit l’équivalent de 620 Plans Marshall en dollars actuels.

  • Pour 1 $ d’aide reçu, les pays en développement perdent 24 $ en sorties nettes.

  • En 2015, la moitié des biens physiques consommés dans le Nord provenaient directement du Sud.

    👉 Presque un tiers du travail humain effectué dans les pays pauvres a servi directement la consommation des émetteurs de dette.

La capture de la monnaie : l’arme invisible

La prédation ne passe pas seulement par la dette. Elle s’opère aussi par la monnaie elle-même.

  • L’abandon de l’or et l’avènement de la monnaie fiduciaire (fiat) ont donné aux États un pouvoir inédit : se créer de la monnaie à volonté.

  • Chaque création monétaire dévalue l’épargne des citoyens au profit de ceux les plus proches de la machine à billet (effet cantillon).

Exporter sa dette via la guerre

Quand la prédation économique et monétaire ne suffit plus, il reste toujours l’ultime levier : la force militaire.

Le pétrodollar, imposé par les États-Unis à coups de guerre ou de sanctions, est l’exemple parfait : la monnaie devient une arme géopolitique au service d’un empire. Une monnaie sécurisée par la guerre. Pour pouvoir en imprimer toujours plus.

  • Les pays qui ont tenté de s’extraire du système dollar, par exemple l’Irak, la Libye, le Venezuela, l’Iran… ont systématiquement subi des interventions directes ou indirectes.

  • La guerre sert alors à “sécuriser” le monopole monétaire et à maintenir la dépendance des autres États.

  • Et comme toute guerre moderne, elle est financée non plus par l’impôt direct (trop visible), mais par l’impression monétaire et la dette publique.

👉 la prédation est totale. Elle combine dette, inflation, monopole monétaire et, en dernier recours, la guerre imposée par l’inflation. Ce n’est pas une hypothèse future : c’est le système dans lequel nous vivons déjà.

La technologie change les règles du jeu

Pendant longtemps, les États dominants ont gardé leur pouvoir grâce à un monopole militaire écrasant. Mais ce monopole s’effrite.

Les technologies évoluent. Elles agissent comme une force égalisatrice :

  • Un drone bricolé à 250 $ peut neutraliser un tank de plusieurs millions.

  • Une imprimante 3D peut produire des armes autrefois réservées aux armées.

  • Les IA, la robotisation etc.

  • Même l’arme nucléaire, autrefois hors de portée pour les pays opprimés, sera nettement plus accessible très bientôt.

👉 Ce qui relevait autrefois des superpuissances sera désormais à portée de petits groupes, voire d’individus.

Ca change la donne !

Car si les États sont structurellement poussés à l’agression, l’arme de la rébellion se renforce aussi.

  • Un groupe qualifié de “terroriste” par un gouvernement peut, avec des moyens technologiques limités, infliger des dégâts disproportionnés.

  • Des États considérés comme “mineurs” peuvent menacer directement des puissances établies.

  • Et, plus inquiétant encore, des régimes acculés pourraient être tentés d’utiliser ces armes comme ultime levier de survie.

La conséquence, c’est un monde bien plus instable. Non seulement les États restent prédateurs par nature, mais les contre-pouvoirs deviennent plus dangereux, moins contrôlables et potentiellement plus destructeurs.

La différence avec une société libre

Dans une société véritablement libérale, rien de tel n’est possible.

  • Aucun individu ou organisation n’a le pouvoir d’imposer un impôt par la force.

  • La monnaie est choisie librement par le marché, sans possibilité de manipulation centrale.

  • Les états doivent payer le vrai prix de la guerre et celles-ci sont donc nettement moins nombreuses et mortifères.

👉 C’est là toute la différence : l’État vit de l’agression, la société libre vit de la coopération. Tant qu’un État, même minimal, détient le monopole de la violence et de la monnaie, il sera incité à exploiter et à faire la guerre.

Bitcoin : une rupture dans l’histoire de l’humanité

Jusqu’ici, l’État avait toujours eu l’avantage décisif. Il contrôlait la monnaie, donc il contrôlait la richesse, donc il pouvait financer ses guerres et maintenir sa domination.

Mais Bitcoin change tout. Pour la première fois dans l’histoire, les individus disposent d’un outil qui échappe à la capture de l’État.

La première propriété vraiment inviolable

  • L’or peut être confisqué par les états (comme de 1933 à 1974 aux États-Unis).

  • L’immobilier peut être taxé, exproprié.

  • Les comptes bancaires peuvent être gelés en une signature administrative.

👉 Avec Bitcoin, la propriété est purement digitale et garantie cryptographiquement. Tant que tu possèdes tes clés, personne ne peut la saisir ni la dévaluer.

La fin du financement forcé des guerres

  • Sans contrôle de la monnaie, un État ne peut plus imprimer à volonté pour financer ses déficits et ses guerres.

  • Il ne peut plus spolier sa population en silence via l’inflation.

  • Il ne peut imposer un impôt

  • Il doit financer ses ambitions comme n’importe quelle organisation : par des ressources réelles et un consentement volontaire.

👉 La guerre totale, financée par l’impression monétaire, devient impossible.

Une incitation radicalement différente

Bitcoin ne promet pas un paradis instantané. Mais il modifie les incitations fondamentales :

  • Coopérer devient plus rentable que prédater.

  • Protéger sa population devient plus efficace que l’écraser.

  • Les gouvernements doivent agir en accord avec la population.

  • Les individus, dotés d’une propriété inviolable et transférable, deviennent plus libres de choisir leurs alliances et leurs communautés.

En d’autres termes, Bitcoin ne se contente pas d’être une nouvelle monnaie.
C’est une transformation radicale des rapports de force entre l’État et l’individu.
C’est peut-être la première chance réelle pour l’humanité de sortir de ce cycle séculaire d’agression et de prédation.

Conclusion : et maintenant ?

Et toi, tu veux que ton salaire enrichisse ta famille plutôt que l’État, les banques et la guerre ?

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Si l’on suit ce raisonnement jusqu’au bout, l’État n’est pas le garant de notre sécurité.
Il est au contraire l’architecte de nos plus grands périls : guerres mondiales, impérialisme économique, inflation massive, surveillance généralisée.

Et demain, avec la montée en puissance des technologies destructrices, ce risque devient existentiel. Les États sont structurellement poussés à l’agression. Et ils risquent bien d’entraîner l’humanité dans leur chute.

Grâce à Bitcoin, c’est peut-être la première fois que nous avons entre les mains un outil qui inverse les incitations fondamentales.
- Un outil qui rend la prédation plus coûteuse que la coopération.
- Un outil qui rend la propriété vraiment inviolable.
- Un outil qui offre une alternative crédible à l’emprise totalitaire des États.

Alors la vraie question est simple :
👉 de quel côté de l’histoire voulez-vous être ?

Celui où l’on accepte la spoliation et la guerre comme une fatalité ?
Ou celui où l’on construit, pierre après pierre, un monde basé sur la liberté individuelle, la coopération volontaire et une monnaie qui ne ment pas ?

Le choix ne se fera pas demain.
Il se fait aujourd’hui, à chaque satoshi accumulé, à chaque acte de souveraineté posé.

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Bon weekend,

— Axel

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