7 milliards de personnes comprendront bitcoin avant toi (pour 7 raisons)

Imagine, tu te réveilles un matin et tu réalises que la moitié de tes économies a disparu. Pas d’avertissement, pas de solution, juste évaporées. Tu souhaiteras certainement protester contre le régime en place ? A moins que tu ne souhaites pas prendre le risque qu'ils te congèlent le reste de tes économies.

Pour la majorité des gens sur cette planète, ce n’est pas une hypothèse. C’est leur réalité.

7 milliards de personnes vivent actuellement sous un régime autoritaire qui ne respecte pas le droit de propriété ou qui émet une monnaie catastrophique.

Pendant que dans les pays riches, on débat de savoir si Bitcoin est un actif spéculatif ou energivore, en Argentine, au Nigeria ou encore au Liban, les gens l’utilisent pour survivre.

Ils sont encore loin de l'idée de "devenir riches". Ils veulent protéger leur liberté, leurs droits et leur argent.

Bienvenue ou bon retour à toi sur la newsletter anciennement appelée Axel Crypto. Découvre chaque semaine un nouvel article passionnant sur le Bitcoin, l'économie ou la liberté individuelle.

Voici pourquoi 7 milliards de personnes comprendront Bitcoin avant toi, et ce, pour 7 raisons.

1. L’inflation dans le monde

Tu savais que Bitcoin est en gros plan sur le site web de la Human Rights Foundation ?

Depuis 1971 nous vivons à l'époque la plus inflationniste de l'histoire humaine.

Plus de 1,4 milliard d'être humains vivent dans un pays avec une inflation à deux ou trois chiffres.

Pour rappel:

• 10% d'inflation sur 10 ans = -62% de pouvoir d'achat

• 50% d'inflation sur 10 ans = -99% de pouvoir d'achat

L’inflation ne connaît pas de frontières. Peu importe le continent, elle détruit les économies, réduit à néant les épargnes et plonge des millions de personnes dans la précarité.

• Nigeria – le géant de l’Afrique : -76.5 % de la valeur de sa monnaie sur ces 18 derniers mois.

• Égypte – le plus grand pays du Maghreb : -50 % sur ces 18 derniers mois.

• Inde – le pays le plus peuplé du monde : sa monnaie a atteint un niveau historiquement bas face au dollar et a perdu 92 % de sa valeur depuis la fin de l’étalon-or.

L’inflation a ravagé des pays entiers ces dernières années.

Argentine, Venezuela, Liban, Zimbabwe : inflation à 3 chiffres pour chacune des dernières années !

Et ailleurs ?

• Sri Lanka : +46,4 % en 2022

• Éthiopie : +33,6 % en 2022

• Turquie: +72% en 2022

• Russie : +9,5 % en 2024, avec une tendance explosive due aux dépenses militaires et aux pénuries de main-d’œuvre.

• Angola : +25,7 % en 2021.

• Suriname : +59,1 % en 2021

Dans ces pays, l’inflation n’est pas une simple statistique. C’est une question de survie. Quand tout ce que tu possèdes perd 50 %, 80 %, voire 99 % de sa valeur en quelques années, il ne te reste qu’une option : trouver une alternative.

Parfois il suffit d'une nuit pour dévaluer par surprise la population de 44% de leur épargne, comme au Malawi il y a 1 an.

Avec une inflation à 2 chiffres, ton futur ne vaut rien.

Bitcoin est la seule politique monétaire inaltérable.

2. Autoritarisme et Contrôle Financier

Selon le rapport de V-Dem (Varieties of Democracy), seulement 14 % de la population mondiale réside dans des démocraties libérales.

Pour 7 milliards d'êtres humains, vivre dans un pays où les élections sont libres, la liberté d’expression est respectée et où le droit de propriété est protégé, n’est pas la norme. C’est un luxe qu’ils n’ont pas.

Pour ces gouvernements, le contrôle financier est une arme.

Les militants trop dérangeants peuvent voir leur compte en banque geler et une impossibilité de financer ses actions.

C’est exactement ce qui s’est passé au Nigeria lors des plus grandes manifestations de la décennie contre le gouvernement.

Le gouvernement a gelé les comptes bancaires des leaders du mouvement, mais il n’a pas pu arrêter Bitcoin. Les manifestants ont continué à recevoir et à envoyer des fonds sans que l’État ne puisse intervenir.

L’Article 12 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme stipule :

Pourtant, les gouvernements violent ce droit. En ce moment même, ils accélèrent la mise en place des CBDC (monnaies numériques de banque centrale), c’est-à-dire une monnaie totalement traçable et programmable par l’État.

Voici ce qu'en dit le Directeur Général de la Banque des Règlements Internationaux :

• Finie l’anonymité

• Finie la liberté d’échanger sans autorisation

• Finie la possibilité d’utiliser son argent comme on l’entend

Quand un État peut programmer ta monnaie, il peut décider où, quand et comment tu dépenses ton argent.

• Besoin d’acheter un billet d’avion pour quitter le pays ? Refusé

• Trop de dépenses en essence ou en viande ce mois-ci ? Bloqué

• Envie d’aider un journaliste ou un militant censuré ? Impossible.

Maintenant, voici la différence entre une démocratie libre et un régime authoritaire.

Lorsque les manifestations et le lobbying ont fait mouche aux Etats Unis et que Donald Trump a annoncé qu'il n'y aura pas de CBDC aux Etats-Unis, les chinois n'ont pas su en dire autant. L'arme de contrôle absolue est déjà en place.

A présent en Chine il se peut même qu'ils t'empêchent de combattre les décisions gouvernementales avant même que tu ne le décides toi-même grâce aux algorithmes de prédiction.

Bitcoin ne peut-être contrôlé, censuré ou arrêté.

3. Discrimination et Exclusion Financière

L'argent est ce qui permet aux individus d'échanger et de se spécialiser. Difficile d’imaginer vivre et exister dans la société sans lui…

• Au Nigeria, plus de 70 % de la population est non bancarisée ou sous-bancarisée

• En Inde, le pays le plus peuplé du monde, 22 % des habitants sont non bancarisés

Au total, plus d’un milliard de personnes dans le monde n’ont même pas accès à un compte bancaire. Non pas par choix, mais par exclusion.

Il est estimé que 850 millions de personnes dans le monde n'ont pas de papiers et donc sont exclus du système bancaire.

C’est là toute la différence. Peu importe qui tu es. Une femme ou un homme. D’Afghanistan, du Venezuela, de France ou d'ailleurs. Que ton gouvernement t’apprécie ou non. Bitcoin ne discrimine personne.

4. Virements familiaux

Les remises migratoires (ou remittances) représentent plus de 800 milliards de dollars par an, envoyés par des travailleurs à leurs familles restées dans leur pays d’origine. Des millions de familles dépendent de l’argent envoyé par leurs proches travaillant à l’étranger.

Le coût moyen d’un transfert international est de 6,3 %, mais, dans les pays les plus précaires comme en Afrique subsaharienne, ce coût est de 10 % voire 15 %. Parfois, l’argent n’arrive jamais à destination à cause de restrictions bancaires ou de corruption locale.

Un système qui ponctionne les plus précaires et enrichit ceux qui contrôlent les infrastructures bancaires.

Bitcoin change la donne et c’est pour cette raison que son adoption explose dans des pays comme le Salvador, le Nigeria ou le Liban.

Et si vous pouviez envoyer l'actif le plus rare au monde, sans intermédiaire et à l'autre bout de la planète pour des frais de transaction infimes et en quelques minutes ?

5. Les privilèges financiers nous aveuglent

En europe nous avons grandi avec une monnaie qui remplit globalement sa fonction. Un accès au système bancaire. Un accès aux actifs pour se protéger de l'inflation. Une protection de notre propriété privée sur ces actifs.

Pendant que l’on débat en Europe pour savoir si c'est le bon moment de se positionner sur bitcoin, deja des millions de personnes y voient une question de survie. Elles savent que l’argent qu’elles utilisent aujourd’hui peut ne plus rien valoir demain. Elles savent que leur gouvernement peut confisquer leurs économies d’un simple décret.

Même avec l’euro ou le dollar, on sait bien qu'ils ne disent pas la vérité sur l’inflation. 30% de la masse monétaire actuellement en circulation (EUR et USD) ont été imprimé en 2 ans entre 2020 et 2021. Mais malgré cela, on vit dans un paradis protégé comparé à 87 % de la population mondiale.

Lorsque vous expliquez aux personnes des pays défavorisés que Bitcoin est une monnaie que le gouvernement ne peut pas contrôler, ils écoutent.

En Europe, ils penseront "monnaie pour criminels".

6. Corruption gouvernementale

Au Zimbabwe, 1,5 milliard de dollars d'or sont subtilisés chaque année.

Cet or devrait servir à financer des infrastructures, des hôpitaux, des écoles. Mais il disparaît dans les circuits opaques du pouvoir, probablement pour alimenter une poignée de dirigeants.

Pendant ce temps, la population subit les conséquences :

• entre 1980 et 2022, le Zimbabwe a connu une augmentation cumulée des prix d’environ 707,9 milliards de pour cent (vous avez bien lu).

• 40% de la population vit sans electricité et sous le seuil de pauvreté.

Les réserves d'or des pays sont rarement voir jamais contrôlées. Même aux États-Unis, Fort Knox reste in-audité depuis 1974.

Bitcoin garantit une transparence absolue. Tout le monde peut auditer les fonds publics et leur utilisation. Voici d'ailleurs le portefeuille de bitcoins du Salvador: https://bitcoin.gob.sv/fr/

7. Que la meilleure monnaie gagne

L’histoire monétaire est une compétition où seule la monnaie la plus résistante survit à l’épreuve du temps.

• des métaux précieux face aux coquillages

• l'or et l'argent face au cuivre et bronze

• l’or face à l’argent

• le dollar face aux monnaies locales

• et aujourd’hui, c’est Bitcoin qui s’impose comme l’évolution naturelle de la monnaie.

Dans l’histoire, ceux qui ont ignoré une innovation militaire ont fini par être conquis. Ceux qui ont parié sur l’argent quand l’or dominait ont vu leur richesse fondre.

Refuser Bitcoin aujourd’hui, c’est faire l’erreur stratégique du siècle : celle de s’accrocher à une monnaie qui s’effondre pendant que le monde migre vers une alternative plus robuste.

On ne peut pas épargner dans la deuxième meilleure monnaie, car la plus forte gagne toujours à la fin.

Là où les monnaies étatiques sont diluées chaque année, Bitcoin reste inaltérable, sans frontière, accessible à tous.

Lorsque tout s’effondre, que ton pays plonge dans la dictature ou la guerre, 12 mots suffisent pour transporter ta richesse avec toi, sans banque, sans intermédiaire.

Bitcoin n’est pas seulement une monnaie. C’est un passeport vers la liberté.

Traduction: Sa technologie augmente continuellement le prix du Bitcoin ce qui attire l’adoption. Mais tel un cheval de trois, son véritable atout caché est la liberté.

Si tu ne vois pas Bitcoin, 7 milliards d'autres personnes le verront très bientôt, si ce n'est pas déjà le cas.

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— Axel